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Amnistie internationale est un mouvement mondial réunissant plus de 10 millions de personnes dans 70 pays, agissant pour le respect des droits humains de toutes et tous. 

Financée à près de 99% par les dons des personnes sympathisantes à sa cause, Amnistie internationale s’assure ainsi d’une très grande indépendance. La notion de transparence est primordiale dans le mouvement, c’est pourquoi toutes les informations relatives à l’utilisation des fonds sont disponibles en tout temps pour nos membres et sympathisants. 

Depuis près de 60 ans, nous remportons des victoires pour la liberté, la dignité et la justice !

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On résiste ensemble, on gagne ensemble

Face aux dérives autoritaires, votre voix compte L'autoritarisme est à nos portes. Aux États-Unis, la réélection de Donald Trump a catalysé un mouvement global de mépris des droits humains. Partout ailleurs, les gouvernements prennent les civil·e·s pour cible, dans les conflits armés tout comme dans la rue, lorsque le peuple exprime sa résistance. Attaques contre les communautés LGBTQIA+, restrictions du droit à l'avortement, abandon des institutions, violations du droit international, censure, répression des manifestations, crimes de guerre, génocide.

Nous ne pouvons pas fermer les yeux. C'est en résistant, ensemble, que nous protégerons la dignité humaine et la justice, et que nous construirons un monde solidaire où les droits fondamentaux ne sont pas à négocier. Non Copy of Copy of Couverture article site web - 1430x685 (3).png

NOS DROITS SOUS ATTAQUE

 

Nous l'avons vu dans nos manuels d'histoire. Nous l'avons lu dans la presse internationale. Nous y assistons à présent.  

L'autoritarisme est à nos portes. Aux États-Unis, la réélection de Donald Trump a catalysé un mouvement global de rejet de l’autre, de déshumanisation et de mépris des droits humains. Fondé sur la haine, alimenté par la peur, et instrumentalisé par des politiques toutes plus discriminatoires, le discours dominant érode gravement l’espace civique et diabolise les individus et les groupes marginalisés. L'administration états-unienne morcèle, décret après décret, les garanties les plus fondamentales en matière de droits humains. Partout ailleurs, les gouvernements autoritaires prennent les civil·e·s pour cible, dans les conflits armés les plus violents tout comme dans la rue, lorsque le peuple exprime sa résistance. Attaques contre les communautés LGBTQIA+, restrictions du droit à l'avortement, abandon des institutions, violations du droit international, censure, répression des manifestations, crimes de guerre, génocide. Nous avons reculé de 80 ans. 

Nous ne pouvons pas fermer les yeux. Nous vivons un tournant pour l'humanité : les gouvernements et la société civile doivent de toute urgence s'organiser pour lutter, ensemble, et garantir nos libertés fondamentales. Le pouvoir citoyen est le dernier rempart de la liberté, de la solidarité et de l'humanité. C'est en résistant, ensemble, que nous protégerons la dignité humaine et la justice, et que nous construirons un monde solidaire où les droits fondamentaux ne sont pas à négocier. 

Les orientations d'Amnistie

Sur le continent américain, comme en Europe, les personnes migrantes, réfugiées ou demandeuses d’asiles sont victimes d’arrestations arbitraires, de détention prolongée, et d’expulsions massives vers des pays où elles risquent de subir de graves violations des droits humains, notamment la torture ou les mauvais traitements. Des millions de vies sont mises en danger par des politiques migratoires violentes, sur fond de discours discriminatoires envers les personnes migrantes et réfugiées, devenues les boucs émissaires de nos sociétés. 

Aux États-Unis, sous le coup des décrets discriminatoires de Donald Trump, les expulsions massives brisent des vies et sèment la terreur. Des centaines de personnes ont été expulsées illégalement vers le Salvador. Au Canada, l’Entente sur les tiers pays sûrs (ETPS) avec les États-Unis continue de bloquer l’accès à l’asile pour des personnes qui cherchent refuge, et risquent le renvoi aux États-Unis, où elles pourraient être arrêtées, détenues, déportées. En République dominicaine, des millers de personnes ont été expulsées vers Haïti selon une politique migratoire raciste. En parallèle, des enfants sont détenus, des familles séparées, et des migrant·e·s racisé·e·s subissent des traitements discriminatoires. 

Amnistie internationale exige aux gouvernements de mettre un terme à ces pratiques inhumaines. Toute personne a le droit de chercher refuge, sans être criminalisée, emprisonnée ou expulsée. 

Arrestations arbitraires. Privation de liberté. Menaces. Révocations de visas. Aux États-Unis et partout ailleurs dans le monde, des étudiant·e·s, des militant·e·s et des journalistes sont ciblé·e·s pour avoir exercé leur droit fondamental à la liberté d’expression.  

C’est le cas de Mahmoud Khalil, un militant palestinien, résident permanent des États-Unis et étudiant diplômé de l'université de Columbia qui a participé activement au campement de solidarité avec Gaza. Mahmoud Khalil a été illégalement arrêté et arbitrairement détenu. Il n'a pas été inculpé de crime. Pourtant, il a été détenu pendant plusieurs semaines dans un centre de détention et les autorités l'ont informé qu'elles avaient entamé une procédure d'expulsion. Le 21 juin dernier, suite à une mobilisation de masse à travers le monde, Mahmoud Khalil a été enfin libéré.  

Mais son histoire n’est pas isolée : sur de nombreux campus nord-américains, des étudiant·e·s sont intimidés, suspendus ou criminalisés pour avoir dénoncé l'injustice. 

Le droit de manifester, ainsi que le droit à la liberté d’association, de réunion pacifique et d’expression, sont au cœur de toute démocratie. Quand ces droits sont attaqués, ce sont les fondements mêmes de la liberté qui vacillent. 

Depuis plusieurs mois, Israël commet un génocide à l’encontre des Palestinien·ne·s, notamment en faisant chez les enfants, les journalistes, les professionnel·le·s de la santé et le personnel humanitaire un nombre de morts parmi les plus élevés de tous les conflits récents survenus à travers le monde, et en infligeant délibérément à la population palestinienne des conditions destinées à entraîner sa destruction physique. 

Ces crimes génocidaires s’inscrivent dans le cadre du système d’apartheid imposé par les autorités israéliennes, à travers le déplacement de force des Palestinien·ne·s, une impunité totale sur les violences commises, les campagnes d’arrestations militarisées en Cisjordanie occupée, et la détention arbitraire de milliers de Palestinien·ne·s, qui ont subi des mauvais traitements, s’apparentant dans de nombreux cas à des actes de torture. 

Israël doit immédiatement mettre fin au siège dévastateur imposé à la bande de Gaza occupée, qui constitue un acte génocidaire, une forme flagrante de punition collective illégale et un crime de guerre.

La montée des gouvernements autoritaires et des mouvements anti-droits, particulièrement aux États-Unis, menace de façon directe les droits des femmes et des personnes LGBTQIA+. Des lois sont adoptées pour restreindre l’accès à l’avortement, interdire les soins de santé pour les personnes trans, et criminaliser la diversité de genre. 

Le droit de manifester pour les droits des personnes LGBTQIA+ est attaqué. En Hongrie et en Turquie, les marches des fiertés sont menacées par des décrets ou des lois, et risquent d’être interdites. Les personnes et communautés LGBTQIA+ sont criminalisées, persécutées. 

C’est le cas de Andry José Hernández Romero, artiste maquilleur homosexuel illégalement expulsé par l’administration Trump vers une prison au Salvador, tristement célèbre pour ses conditions de détention brutales. 

La suspension brutale, incohérente et de grande ampleur par l’administration Trump de l’aide internationale prodiguée par les États-Unis a eu un impact catastrophique sur les efforts mondiaux en matière d’aide humanitaire, de développement et de droits humains. Elles ont mené à la suspension de programmes essentiels dans le monde entier, dont beaucoup fournissaient des soins de santé, la sécurité alimentaire, des hébergements, des services médicaux et un soutien humanitaire à des personnes en situation d’extrême vulnérabilité, notamment des femmes, des filles, des victimes de violences sexuelles et d’autres groupes marginalisés, ainsi que des réfugié·e·s et des personnes en quête de sécurité. 

Ces coupes ne sont pas seulement financières, elles représentent un abandon des engagements déclarés des États-Unis en faveur des droits humains, de la santé publique, de la paix et de la sécurité dans le monde. 

Cela s’inscrit dans le contexte plus global de la sortie des États-Unis d’organisations multilatérales qui protègent les droits humains dans le monde. En sortant du leadership mondial, en se retirant du Conseil des droits de l’homme, de l’Organisation mondiale de la santé et de l’Accord de Paris sur le climat, en réexaminant l’adhésion à l’UNESCO et en imposant des sanctions à la Cour pénale internationale, le gouvernement Trump a intensifié les efforts visant à saper les mécanismes mondiaux de justice et d’obligation de rendre des comptes.  

En érodant les normes et les institutions essentielles à la protection des droits humains, l’administration Trump a systématiquement mis en danger les protections des droits humains. 

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METTRE FIN AU GÉNOCIDE EN TERRITOIRE PALESTINIEN OCCUPÉ

Israël et territoire palestinien occupé Depuis de nombreuses années, Amnistie internationale documente les violations des droits humains en Israël et dans les territoires palestiniens occupés. Aujourd’hui, Israël commet un génocide à l’encontre du peuple palestinien, inscrit dans le système d’apartheid imposé par ses autorités. Face à ces crimes, retrouvez ci-dessous nos analyses et recommandations, et rejoignez-nous pour mettre fin aux atrocités infligées aux civil·e·s palestinien·ne·s. Non 303759 (1).jpg

Depuis plusieurs mois, Israël commet un génocide à l’encontre des Palestinien·ne·s, notamment en faisant chez les enfants, les journalistes, les professionnel·le·s de la santé et le personnel humanitaire un nombre de morts parmi les plus élevés de tous les conflits récents survenus à travers le monde, et en infligeant délibérément à la population palestinienne des conditions destinées à entraîner sa destruction physique. 

Ces crimes génocidaires s’inscrivent dans le cadre du système d’apartheid imposé par les autorités israéliennes, à travers le déplacement de force des Palestinien·ne·s, une impunité totale sur les violences commises, les campagnes d’arrestations militarisées en Cisjordanie occupée, et la détention arbitraire de milliers de Palestinien·ne·s, qui ont subi des mauvais traitements, s’apparentant dans de nombreux cas à des actes de torture. 

Israël doit immédiatement mettre fin au siège dévastateur imposé à la bande de Gaza occupée, qui constitue un acte génocidaire, une forme flagrante de punition collective illégale et un crime de guerre.

Les demandes d'Amnistie

La famine généralisée ravage Gaza, où des millions de personnes survivent dans des conditions humanitaires catastrophiques. Israël a l’obligation selon le droit international, de garantir à la population civile un accès sûr et suffisant à la nourriture, aux médicaments et aux biens indispensables à leur survie. 

Au lieu de respecter ce devoir, Israël mène une politique délibérée visant à affamer la population : il bloque l’entrée de nourriture, d’eau et de médicaments, empêche ou arrête des bénévoles non armés qui tentent d’acheminer de l’aide, et détruit des infrastructures vitales, notamment les terres agricoles. Ces actions aggravent une crise qui menace la vie de millions de Palestinien·ne·s et qui constitue une véritable politique de punition collective. 

Cette catastrophe n’est pas un hasard : elle est le résultat d’une stratégie calculée qui équivaut à un crime de génocide, en violation flagrante du droit international et malgré les injonctions de la Cour internationale de Justice. 

Signez la pétition pour lever le blocus et mettre fin au génocide au génocide à Gaza

En tant que signataire de la Convention des Nations unies pour la prévention et la répression du crime de génocide, le Canada a l’obligation d’agir immédiatement pour prévenir un génocide potentiel et instaurer un embargo total sur la vente d’armes à Israël.

Malgré la suspension des nouvelles licences d’exportation, les transferts d’armes se poursuivent à travers les permis déjà délivrés et par l’intermédiaire des États-Unis. Ces licences ouvertes pourraient représenter plus de 94 millions de dollars de matériel militaire d’ici la fin de 2025.

Entre octobre et décembre 2023, le Canada a encore autorisé l’exportation de près de 30 millions de dollars de matériel militaire vers Israël, s’ajoutant à plus de 140 millions de dollars transférés au cours de la dernière décennie.

Face aux violations graves du droit international humanitaire à Gaza, le Canada doit suspendre immédiatement tous les transferts d’armes. C’est une obligation légale, morale et un devoir essentiel de prévention.

Signez pour mettre un terme aux transferts d’armes à Israël 

Les bombardements d’Israël continuent de tuer à un rythme effarant.
En un an, plus de 42 000 Palestiniennes et Palestiniens ont été tués et 97 000 blessés, dont beaucoup resteront handicapés à vie.

Le nord de Gaza est presque entièrement détruit et 90 % de la population est désormais déplacée. Le système de santé s’est effondré, les hôpitaux sont à court de tout, et la faim est utilisée comme une arme.

La Cour internationale de justice a reconnu un risque réel de génocide et exigé qu’Israël protège les civil·e·s. Pourtant, les attaques continuent, chaque jour plus meurtrières.

Il faut mettre fin à cette horreur. Que l'humanité triomphe.

Signez notre pétition mondiale pour appeler à un cessez-le-feu immédiat de toutes les parties afin de mettre fin au bain de sang dans la population civile et faire en sorte que l’aide humanitaire puisse parvenir à Gaza.

Le 26 janvier, la Cour internationale de justice (CIJ) a estimé que les civil·e·s palestinien·ne·s de la bande de Gaza occupée étaient exposés à un risque réel et imminent de génocide. Dans l’attente de sa décision finale sur les allégations de génocide formulées par l’Afrique du Sud contre Israël, en vertu de la Convention sur le génocide, la Cour a ordonné six mesures provisoires, notamment pour qu’Israël prenne toutes les mesures en son pouvoir afin d’empêcher la commission des actes proscrits par cette convention, et d’assurer la prestation des services de base et l’acheminement de l’aide humanitaire dont les civil·e·s de Gaza ont besoin de toute urgence. 

Les forces israéliennes continuent cependant d’intensifier l’assaut cataclysmique mené contre la bande de Gaza occupée, font planer la menace d’opérations terrestres à Rafah, maintiennent un siège illégal et inhumain presque total, et bloquent l’entrée d’une aide humanitaire indispensable sur place.

Agissez maintenant : Envoyez un message au premier ministre d'Israël lui demandant de respecter l'arrêt de la CIJ et de prendre des mesures immédiates afin d'assurer que l'aide humanitaire parvienne à Gaza.

Depuis plus d’un an, le monde assiste à une catastrophe humaine sans précédent dans la bande de Gaza occupée.
La violente offensive d’Israël a fait des dizaines de milliers de morts, détruit des quartiers entiers et déplacé de force plus de 1,9 million de personnes, soit plus de 90 % de la population.

Selon les enquêtes d’Amnistie internationale, les éléments de preuve recueillis montrent qu’Israël commet un génocide à Gaza depuis le 7 octobre 2023.
Les bombardements incessants, le blocus total, la privation d’eau, de nourriture et de soins, ainsi que la destruction délibérée d’infrastructures vitales ont plongé Gaza dans le désespoir.

Gaza est à genoux. L’inaction du monde ne peut plus durer.

Agissez maintenant et appelez le gouvernement du Canada à cesser d’alimenter le génocide à Gaza et mettre un terme au transfert d'armes vers Israël. 

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Oui Israël et territoire palestinien occupé Fermez le robinet de l’économie qui permet à Israël de commettre ses crimes Recherches d'Amnistie internationale sur les attaques menées par le Hamas le 7 octobre 2023 et sur le traitement des otages Défendre l’état de droit, appliquer l’apartheid – le double visage du système judiciaire israélien L’apartheid d’Israël contre la population palestinienne : un système cruel de domination et un crime contre l’humanité Pour aller plus loin avec Amnistie Internationale

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