• ÉDITION 2022-2023

Écrire, ça libère !

La plus grande campagne d'Amnistie internationale est de retour cette année pour promouvoir la défense des droits humains. Vous aussi, participez à la cause et faites briller les droits humains.
75% de libérations
127 personnes libérées sur 169 entre 2000 et 2020

ÉCRIRE, ÇA LIBÈRE : QU'EST-CE QUE C'EST ?

Une lettre peut parfois changer une vie. C’est le principe fondateur d'Écrire, ça libère, la campagne mondiale de rédaction de lettres d’Amnistie internationale et l’action la plus suivie à l’échelle planétaire en matière de droits humains.

Chaque année, en décembre, des sympathisant·e·s d’Amnistie internationale du monde entier écrivent des millions de lettres pour celles et ceux dont les droits les plus fondamentaux sont bafoués. Ce sont des personnes comme vous, qui perpétuent une vieille tradition de rédaction de lettres pour réparer les plus grandes injustices dans le monde. Et il ne s’agit pas que de lettres, cela peut être des pétitions, des courriels, des tweets, des publications sur Facebook, des photos, des cartes postales.

La dictée d'une vie

Pour interpeller les plus jeunes, Amnistie internationale a créé et enregistré des dictées qui racontent des histoires vraies issues de la campagne de cette année, avec la participation de Ludivine Reding, Mathieu Dufour, Alice Morel-Michaud et Anas Hassouna.

L’objectif est une prise de conscience de la fragilité de la liberté d’expression à travers le monde, mais également de l’impact concret que nous pouvons avoir sur la vie de centaines de personnes. Nous invitons ensuite les professeur·e·s à prendre un moment avec leurs élèves pour écrire des lettres d’encouragement à la personne dont l’histoire a été racontée dans la dictée choisie. 

Luis Manuel Otero Alcántara

Luis Manuel est un artiste indépendant afro-cubain et figure clé du Mouvement San Isidro, un groupe diversifié d'artistes, de journalistes et de militant·e·s défendant la liberté d'expression à Cuba. Il fait partie des centaines de personnes ayant été arrêtées dans le cadre des manifestations historiques du 11 juillet 2021. Après avoir été détenu provisoirement pendant presque un an, il a été condamné en juin 2022 à 5 ans d’emprisonnement.

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