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Maryia Kalesnikava - Écrire, ça libère ! 2024

Maryia Kalesnikava s’est impliqué dans la vie politique de son pays en participant aux campagnes présidentielles de 2020. Bien que devenue la principale figure de l’opposition, elle a courageusement continué de militer pacifiquement et d’arborer un message de paix et d’amour. Le 7 septembre 2020, Maryia est cependant enlevée par les autorités biélorussiennes, qui l’intimident pour qu’elle s’exile. Elle parvient à l’éviter mais est condamnée à 11 ans d’emprisonnement pour des chefs d’accusation infondés. Ses conditions de détention sont depuis déplorables et ses contacts humains sont quasi inexistants. 

La famille de Maryia et ses ami.e.s sont sans nouvelles depuis plus d’un an. 

Maryia Kalesnikava
Penal colony No. 4
vul. Antoshkina 3 
246035, Homel
Republic of Belarus
  1. Les messages doivent être brefs et personnels.
  2. Ne mentionnez jamais Amnistie internationale sur les cartes.
  3. N’utilisez pas de cartes d’Amnistie internationale ou d’autres organisations (sauf celles prévues à cet effet : nous détachons la portion inférieure des cartes avant de les envoyer. Cartes disponibles sur demande).
  4. Ne mentionnez pas la situation politique du pays ou les accusations faites à l’endroit des personnes dont les droits sont bafoués.
  5. N’hésitez pas à écrire en français. La personne recevra des messages en différentes langues et ressentira ainsi que partout dans le monde, des gens pensent à elle.
  6. Puisque les individus visés par la campagne proviennent de diverses traditions religieuses, veuillez ne pas mentionner Noël ni le Jour de l’An. Utilisez plutôt « vœux de fin d’année ».
  7. Pour minimiser les frais de poste, envoyez toutes les cartes destinées à la même personne dans une grande enveloppe.
  8. Indiquez votre nom et votre adresse sur les enveloppes que vous enverrez. Certaines prisons ne distribuent pas les lettres si le nom et l’adresse de l’expéditeur ne figurent pas sur l’enveloppe.
  9. Si vous recevez une réponse, contactez-nous : elle pourrait contenir des informations utiles pour les chercheurs et chercheuses d’Amnistie internationale.
  10. N’écrivez ou ne dessinez pas de signes religieux.

ÉCRIRE, ÇA LIBÈRE ! 2024-2025

Chaque année, des sympathisant·e·s d’Amnistie internationale du monde entier écrivent des millions de lettres pour celles et ceux dont les droits les plus fondamentaux sont bafoués. Faites briller les droits humains et joignez-vous à la campagne !

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