• ÉDITION 2023-2024

Écrire, ça libère !

La plus grande campagne d'Amnistie internationale est de retour cette année pour promouvoir la défense des droits humains. Vous aussi, participez à la cause et faites briller les droits humains.
75% de libérations
127 personnes libérées sur 169 entre 2000 et 2020

ÉCRIRE, ÇA LIBÈRE : QU'EST-CE QUE C'EST ?

Une lettre peut parfois changer une vie. C’est le principe fondateur d'Écrire, ça libère, la campagne mondiale de rédaction de lettres d’Amnistie internationale et l’action la plus suivie à l’échelle planétaire en matière de droits humains.

Chaque année, en décembre, des sympathisant·e·s d’Amnistie internationale du monde entier écrivent des millions de lettres pour celles et ceux dont les droits les plus fondamentaux sont bafoués. Ce sont des personnes comme vous, qui perpétuent une vieille tradition de rédaction de lettres pour réparer les plus grandes injustices dans le monde. Et il ne s’agit pas que de lettres, cela peut être des pétitions, des courriels, des tweets, des publications sur Facebook, des photos, des cartes postales.

PARTICIPEZ AU GRAND MARATHON D'AMNISTIE

Chaque année, Amnistie internationale organise un grand Marathon d'écriture pour célébrer et faire vivre la campagne en grand. Vous êtes dans la région de Montréal ? Rendez-vous le samedi 9 décembre et joignez-vous à nous !


EN SAVOIR PLUS

Wet'suwet'en

Les Wet’suwet’en sont une communauté autochtone du Canada dont le territoire non cédé se situe en Colombie-Britannique. Depuis plusieurs années maintenant, les défenseur·e·s du droit à la terre Wet’suwet’en sont harcelé·e·s, intimidé·e·s, évacué·e·s de force et criminalisé·e·s par la Gendarmerie royale du Canada (GRC) car ils s’opposent à la construction d’un gazoduc sur leur territoire. Neuf défenseur·e·s du droit à la terre Wet’suwet’en sont poursuivis au criminel pour avoir prétendument désobéi à un ordre d’injonction de se tenir à l’écart des chantiers de construction de gazoduc, bien que ceux-ci soient situés sur le territoire ancestral non cédé de la nation. S’ils sont reconnus coupables, ils pourraient être condamnées à une peine de prison.

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